Papier d'Arménie

L’origine du Papier d’Arménie

Lors d’un voyage en Arménie au XIXe siècle, Auguste Ponsot remarque que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler de la résine de plante que l’on appelle benjoin. Séduit par cette pratique traditionnelle et écologique, il décide d’importer ce produit en France.

La naissance du Papier d’Arménie

Son associé, le pharmacien Henri Rivier, découvre alors qu’en faisant dissoudre le benjoin dans de l’alcool à 90° on obtient une odeur persistante. L’ajout de parfum donne un mélange aromatique agréable et tenace. Il ne reste qu’à trouver un support. Ce sera le papier buvard qui absorbe le mélange et se consume lentement sans faire de flamme. La création du

Le Papier d’Arménie aujourd’hui

Arrière-petite-fille d’Henri-Rivier, Mireille Schvartz perpétue la tradition familiale à Montrouge depuis l’origine. Une équipe de 10 personnes exerçant 3 métiers différents fabrique selon 12 étapes le petit carnet parfumé. Il sera passé durant ce long parcours, sous le contrôle aussi minutieux que rigoureux d’un responsable du laboratoire et dans 6 mains différentes dont certaines comptent jusqu’à 30 ans de maison.

Le Papier d’Arménie est décliné en trois senteurs : Arménie, Tradition et Rose.